LIBAN / « Hell’s Gate », première série dystopique et expérimentale libanaise

“Hell’s Gate” (Les portes de l’Enfer) se déroule à Beyrouth en l’an 2052. La série en 8 épisodes nous plonge dans un monde détruit par une succession de conflits et pandémies mortelles. Le système sociopolitique y a été remplacé par “L’État de l’Union”, des investisseurs et entreprises privés aux agissements néfastes. Un groupe de révolutionnaires se prépare à le renverser. 

Produit par Cedars Art Production, la toute première série dystopique et expérimentale libanaise est disponible sur la plateforme digitale Shahid VIP depuis le 12 septembre. Le service VOD du géant de la diffusion MBC décrit « Hell’s Gate » comme « le premier drame de science-fiction arabe du genre« . 

Le réalisateur principal est l’artiste libanais Amin Dora, lauréat d’un Emmy Award . Il a travaillé aux côtés des scénaristes Élie Kayrouz, Fouad Arsanios, David Lteif, et Bassem Briesh en tant que scénariste principal. Côté casting, on découvre de grands noms du cinéma du monde arabe comme l’actrice canado-libanaise Cynthia Samuel, l’acteur palestinien Adam Bakri.

Le producteur Sabah Brothers a fait appel à des experts internationaux en arts martiaux, spécialisés dans l’entraînement de combats dans le cinéma. « Les costumiers et les scénographes ont travaillé sans relâche pour atteindre un niveau de précision et de détails qui reflètent notre identité et évitent de tomber dans les fosses de l’Occidentalisation« , raconte Saïd Serhan, l’un des acteurs. 

Saudi 24 News rapporte également que les dernières techniques de production audiovisuelle, de montage, de postproduction, d’effets visuels et de graphiques ont permis la création des scènes d’action impressionnantes de la série.

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Sources : lorientlejour.com, tbivision.com, arabnews.com, saudi24news.com

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